International Documentaire

« Le Fils » : mourir pour la Russie

Ils ont 20 ans et quelques, leurs visages ont encore la peau fine, comme celle des enfants. C’étaient des compagnons de Dima, le cousin du réalisateur Alexander Abaturov, mort à 21 ans lors d’une opération militaire au Daghestan. Ce documentaire, qui tisse la douleur des parents à la formation de forces d’élite de la Fédération de Russie, est sorti en salles en 2018. Proposé en partenariat avec Tënk, la plateforme de documentaires d’auteurs, il résonne particulièrement aujourd’hui.

Tënk et Mediapart

Ils s’entraînent pour pouvoir porter le béret rouge de la Spetsnaz, unité d’élite de l’armée russe : crâne rasé, ils apprennent le maniement des armes, le combat au corps-à-corps, les déplacements en milieu hostile... Et hurlent le nom de ceux qui « ont connu la mort des braves ».

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