Chiranuch Premchaiporn, qui dirige le site d'informations thaïlandais Prachataï, risque entre 20 et 50 années de prison pour des commentaires publiés sur son site et qu'on lui reproche de ne pas avoir retirés suffisamment tôt. Les poursuites à son encontre sont révélatrices des abus et de l'instrumentalisation politique du crime de lèse-majesté dans le pays, malgré les promesses faite par le nouveau gouvernement.
Thaïlande: le crime de lèse-majesté pour contrôler le Net
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.