Cloé Harent a reçu cette année le prix Isem (Images Singulières-ETPA-Mediapart) Jeune photographe. Depuis octobre 2018, Cloé Harent s’éloigne de temps en temps de la ville pour documenter des fermes biologiques et part à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont décidé de s’écarter du tumulte de la société. Grâce au réseau WWOOF (World Wide Opportunities Organic Farm), elle rencontre ceux et celles qui viennent chercher des réponses sur la possibilité de vivre autrement. À travers ses photos, elle palpe une ambiance, une manière d’être, une cohésion qui se dégage de ces lieux.
Juin 2020. Ferme biologique de La Carotte sauvage, à Trégrom, dans les Côtes-d’Armor. Cette ferme est gérée par un couple franco-québécois, installé en tant que producteurs maraîchers bio depuis 2016. Nous sommes par une chaude matinée d’été dans l’une des serres où grandissent les tomates. François enlève à la main les gourmands, ces petites pousses qui ne donnent pas de fleurs mais qui pompent l’énergie dont ont besoin les tiges principales.
Une enquête de Mediapart raconte l’une des plus grandes entreprises de manipulation de l’information intervenue en France ces dernières années. Plusieurs sites participatifs, dont Le Club de Mediapart, en ont été victimes. Au cœur de l’histoire : une société privée, Avisa Partners, qui travaille pour le compte d’États étrangers, de multinationales mais aussi d’institutions publiques.
par
Fabrice Arfi,
Antton Rouget,
Tomas Madlenak
et Lukas Diko (ICJK)
Alors que La République en marche a refusé d’inscrire le droit à l’avortement dans le marbre de la Constitution durant la précédente législature, elle opère désormais un changement de cap non sans arrière-pensée politique, mais salutaire face à la régression américaine.
Comme aux États-Unis, l’accès à l’avortement est compliqué, voire interdit en Pologne, mais aussi en Roumanie et en Hongrie. Ces pays frontaliers de l’Ukraine hébergent plusieurs centaines de milliers de réfugiées de guerre ukrainiennes sur leur sol, qui n’ont parfois pas d’autre choix que d’avorter dans un autre pays.
Une enquête menée par une juge d’instruction française sur la détention au Gabon de deux Français, dont l’ancien directeur de cabinet du président Bongo Ondimba, provoque des remous. Les avocats des deux détenus s’inquiètent pour leur santé et dénoncent un règlement de comptes politique, mettant en cause le fils aîné du chef de l’État gabonais.
par
Fanny Pigeaud
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