36 ans. Lorientais formé à l’IUT de journalisme de Lannion, j'ai rejoint Mediapart en 2016 après des débuts en Bretagne (Le Télégramme, Ouest-France, Radio Campus Rennes), un long séjour en Allemagne (Ambassade de France, Deutsche Welle, Badische Zeitung) et plus de cinq ans passés à la rédaction d’ARTE à Strasbourg.
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
28 jours après le début de l’invasion russe en Ukraine, les forces ukrainiennes continuent d’essayer de préserver Kyiv, les négociations entre la Russie et l’Ukraine n’aboutissent pas et Vladimir Poutine riposte aux sanctions européennes.
Au 27e jour de l’offensive russe en Ukraine, la marine russe en mer Noire bombarde Odessa, le monde s’interroge sur le nombre de soldats russes tués et l’Europe publie sa stratégie de défense jusqu’en 2030.
Plus de 20 personnes ont été tuées et 25 blessées dans une frappe russe qui a détruit une école et un centre communautaire à Merefa, près de la ville de Kharkiv, dans le nord-est de l’Ukraine. Joe Biden a qualifié Vladimir Poutine de « criminel de guerre ». Le dirigeant russe s’en est pris à la « cinquième colonne » dans son pays. Le statut financier de la Russie reste dans les limbes.
L’organe judiciaire des Nations unies basé à La Haye a rejeté l’argumentaire de Vladimir Poutine, qui affirme intervenir pour prévenir un génocide dans le Donbass. Dix personnes, qui faisaient la queue pour acheter du pain, ont été tuées dans le nord de l’Ukraine, selon le parquet ukrainien. Retour sur le cocktail Molotov, un symbole à haut risque.
Trois millions de personnes ont fui l’Ukraine. La capitale Kyiv, en partie encerclée par les troupes russes, est sous couvre-feu. La journée a été noire pour la presse, avec deux journalistes tués. La Russie a décidé de quitter le Conseil de l’Europe.
Le président ukrainien a accusé la Russie d’avoir bombardé hôpital pédiatrique dans le port de Marioupol. La centrale nucléaire de Tchernobyl a quant à elle perdu son alimentation électrique, menaçant ses capacités de refroidissement. La dépendance européenne au pétrole et au gaz russes est au menu d’un sommet de l’UE, qui s'ouvre jeudi.
Des évacuations de civils se sont déroulées mardi depuis deux villes d’Ukraine. Washington et Londres montent au créneau pour ne plus importer de pétrole russe. En Espagne, Podemos et ses alliés se divisent sur la livraison des armes à l’Ukraine. Retrouvez notre résumé de la journée.
Les forces russes continuent leurs manœuvres d’encerclement de Kiev, par l’ouest, l’est et le nord-est, mais leurs unités ne gagnent du terrain que très lentement voire sont bloquées. Moscou a proposé d’évacuer des civils vers la Russie, une initiative rejetée par le gouvernement ukrainien. Isoler économiquement la Russie du reste du monde n’est pas si facile.
Les troupes russes se sont emparées militairement de la centrale nucléaire de Zaporijia, provoquant un incendie dans un bâtiment voisin du réacteur n° 1. La sécurité de l’installation a été « compromise » par l’attaque, même si aucune fuite radioactive n’a été constatée.
Le Parlement européen vote régulièrement des résolutions sur la Russie de Poutine. Mediapart a décortiqué le vote des 79 députés français sur les trois derniers textes présentés depuis décembre. L’évolution, notamment de La France insoumise, est manifeste.
Au huitième jour de guerre, la Russie poursuit ses bombardements à Kharkiv et Marioupol, tandis qu’Odessa et Kiev se préparent à une attaque terrestre. La cyberguerre tant redoutée, elle, n’a sans doute pas (encore) commencé.
L’Assemblée générale de l’ONU a adopté mercredi une résolution réclamant à Moscou de retirer « sans conditions toutes ses forces militaires » d’Ukraine. L’armée russe se rapproche de la capitale Kiev. Nos infos sur les pertes militaires russes. Et notre analyse sur l'Inde qui rechigne à condamner l'agression de Poutine.
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