L’or que l’on retrouve sur Terre a été formé il y a des milliards d’années, bien avant la naissance de notre planète. Son origine exacte reste encore débattue, mais implique nécessairement des événements cosmiques violents.
Certains trous noirs dits de masse intermédiaire pourraient être la clé manquante pour comprendre comment les plus grands trous noirs se sont formés. Encore faut-il réussir à les trouver.
L’univers est en perpétuelle expansion, poussé par une substance surnommée énergie noire, dont la nature est encore inconnue. Pour la première fois, une cartographie du cosmos la plus précise obtenue à ce jour bouleverse ce que l’on imaginait de cette force obscure.
Lorsque certaines étoiles meurent, elles laissent derrière elles de nouveaux astres, parmi lesquels les magnétars. Ces objets ont des champs magnétiques plusieurs milliards de fois plus élevés que celui du Soleil. Des chercheurs tentent de comprendre pourquoi.
Pendant un mois, l’astéroïde 2024 YR4 avait une probabilité d’impact avec la Terre supérieure à 3 % : la plus élevée depuis vingt ans. Si la menace a été écartée, elle a permis de montrer que les agences spatiales seront prêtes si, un jour, l’impact est inévitable.
La Lune a pris un coup de vieux. Longtemps estimé âgé de 4,35 milliards d’années, notre satellite se serait finalement formé 150 millions d’années plus tôt. Sa prime enfance aurait été « effacée » par une fonte totale de ses roches. Elle fait l’objet d’intenses débats scientifiques.
D’où vient l’eau de la Terre ? Pendant longtemps, on a supposé qu’elle était arrivée grâce à des météorites chargées en eau, qui se seraient écrasées sur notre planète il y a plusieurs milliards d’années. Mais de nouvelles hypothèses voient le jour.
Des physiciens viennent d’apporter les premières preuves directes de l’existence d’un état de la matière pour le moins contre-intuitif : la supersolidité. Une matière à la fois solide et fluide, que l’on peut remuer !
Plus d’une centaine de milliers de satellites tourneront bientôt autour de la Terre, pour offrir toujours plus de services de télécommunication. Les chercheurs dénoncent un « hold-up du ciel », car ces engins rendent leurs recherches de plus en plus compliquées.