J’ai passé 16 ans à l’Agence France-presse, école de la rigueur et de la concision. De Paris à Pékin, en passant par Lyon, Montevideo et Pékin, j’y ai goûté au local et au global. Par la suite, pendant sept ans au journal Le Monde, j’ai apprécié les grands espaces et les lettres gothiques. Aujourd’hui à Mediapart, j’anime le pôle International avec bonheur.
Déclaration d’intérêts
Par souci de transparence vis-à-vis de ses lecteurs, les journalistes de Mediapart remplissent et rendent publique depuis 2018 une déclaration d’intérêts sur le modèle de celle remplie par les parlementaires et les hauts-fonctionnaires auprès de la Haute autorité de la transparence et de la vie publique (HATVP), instance créée en 2014 après les révélations de Mediapart sur l’affaire Cahuzac.
Le président des États-Unis pensait mettre un terme à un dossier qu’il a instrumentalisé pendant sa campagne électorale. Mais la réaction de sa base le met en danger politiquement, pour la première fois depuis son retour à la Maison-Blanche.
Avant sa réélection, Donald Trump n’a cessé d’utiliser politiquement l’affaire Jeffrey Epstein, ce financier américain accusé de pédocriminalité, retrouvé pendu dans sa cellule en 2019. Aujourd’hui, le président fait face aux critiques de ses soutiens conspirationnistes.
Paul O’Brien dirige la section états-unienne d’Amnesty International. De passage à Paris, il s’est entretenu avec Mediapart de la situation outre-Atlantique et des réponses de son organisation aux attaques de Donald Trump contre l’État de droit.
Avant le vote, le leader de la minorité démocrate à la Chambre des représentants, Hakeem Jeffries, a dénoncé, dans un discours record de près de neuf heures, « une attaque honteuse et généralisée contre le peuple américain ».
À quelques jours de son 90e anniversaire, la figure majeure du bouddhisme tibétain, en exil en Inde depuis 1959, a affirmé mercredi vouloir garder la mainmise sur la désignation de son successeur. Et refuser de se soumettre à Pékin, qui souhaite contrôler ce choix.
Un an après des mobilisations ayant fait 60 morts, William Ruto a répondu, une nouvelle fois, par la force aux manifestants qui réclamaient justice. À deux ans de l’élection présidentielle, ces derniers dénoncent la disparition des opposants, l’impunité policière et la corruption.
La victoire du candidat de 33 ans aux primaires démocrates pour la mairie de New York montre le divorce entre la base du parti et son sommet. Elle souligne qu’il est possible de mobiliser et de gagner en parlant des préoccupations de la vie quotidienne, comme le logement et les transports.
Pékin, principal soutien économique de Téhéran, s’en est tenu à une condamnation rhétorique de l’agression israélienne et états-unienne. Le président Xi Jinping a bien proposé un plan en quatre points en faveur de la paix, mais la marge de manœuvre de son pays est réduite.
Le président états-unien a expliqué retourner à Washington pour s’occuper de la situation au Moyen-Orient. Il a signé une déclaration commune avec les autres dirigeants du G7 soutenant Israël et condamnant l’Iran comme « principale source d’instabilité et de terrorisme dans la région ».
Il y a près de soixante ans, la course à l’espace entre Washington et Moscou battait son plein. Arnaud Saint-Martin, sociologue et député, observe un emballement renouvelé de l’aventure spatiale. Dans son dernier livre, il s’est intéressé à la figure d’Elon Musk.
Pour ses 79 ans, Donald Trump s’offre samedi 14 juin un défilé militaire à Washington. Une première depuis 34 ans, alors que le président vient d’envoyer l’armée à Los Angeles pour réprimer des manifestants opposés à sa politique migratoire.
Donald Trump s’est fait élire sur la promesse de ne plus engager son pays dans des « guerres sans fin ». Mais l’attaque israélienne contre l’Iran fait craindre aux soutiens de Donald Trump que les États-Unis ne soient entraînés dans le conflit.
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Les journalistes de Mediapart utilisent aussi leurs blogs, et participent en leurs noms à cet espace de débats, en y confiant coulisses d’enquêtes ou de reportage, doutes ou réactions personnelles à l’actualité.
Mediapart a conclu fin février un partenariat avec le site Kyiv Independent, un média indépendant ukrainien créé en novembre 2021, quelques mois avant l’attaque russe. Cette collaboration se traduira notamment par des échanges d’articles.
Retrouvez de nouveau tous les mois, à partir du mardi 13 février, la lettre américaine de Mediapart, consacrée à l’année électorale états-unienne, qui s’achèvera par le scrutin du 5 novembre.
Contrairement à ce que dit depuis près de trois ans un journaliste, Mediapart n’a pas volé le fruit de son travail. Aucun juge ne l’a reconnu. Nous avons mis fin à sa participation à une enquête à laquelle il s’était greffé en raison d’informations partielles, voire inexactes et donc non utilisables en l’état, de manquements professionnels.
Mediapart contributor Hussam Hammoud, 30, who currently lives in Turkey, applied for what is called a “humanitarian” visa in order to travel to France and, once on French soil, to apply for asylum in the country along with his wife and two young children. But on September 5th he received a cold and impersonal email rejecting his request. Outrageous.
Notre collaborateur, Hussam Hammoud, 30 ans, qui vit actuellement en exil en Turquie, avait déposé une demande de visa dit « humanitaire » pour pouvoir faire une demande d’asile en France avec sa famille. Mais, lundi 5 septembre, il a reçu un courriel type de rejet. Une abomination.