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Après l’annulation du festival d’Angoulême, le milieu de la BD veut faire sa révolution

Malgré la catastrophe économique qu’elle représente, l’annulation de l’édition 2026 de l’événement a été accueillie avec « soulagement » par les professionnels du secteur, qui réfléchissent à son avenir. Les autrices ont joué un rôle majeur dans la mobilisation. Et permis de mettre fin à un système délétère.

Ellen Salvi

Lorsqu’elle a appris l’annulation définitive de l’édition 2026 du Festival international de la bande dessinée (FIBD), Élise Bouché-Tran a ressenti un immense « soulagement ». « Chaque année, j’ai le cœur qui se serre à l’approche du mois de janvier, je repense à tout ce qu’il s’est passé, c’est comme un cauchemar qui recommence », raconte l’ancienne responsable communication de 9eArt+, la société qui gérait jusqu’alors l’événement phare de la ville d’Angoulême (Charente).

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