Cinéma

Le cinéma français contre les robots, tout contre

Le nouveau film de Cédric Jimenez, « Chien 51 », comme celui de Yann Gozlan, « Dalloway », aborde le futur de notre surveillance par le biais de l’IA. Sans parvenir à en faire autre chose qu’un motif éculé, faute de penser politiquement leur objet.

Occitane Lacurie

Deux films français d’anticipation, Dalloway de Yann Gozlan et Chien 51 de Cédric Jimenez, au prestigieux casting et au budget roboratif, sortis cet automne, s’emparent de la question de l’intelligence artificielle (IA). Difficile, en 2025, de cantonner l’IA à un objet science-fictionnel propice aux inquiétudes millénaristes qu’elle a pu incarner dans le cinéma de genre.

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