Liban, un État failli Chronique

Les pleurs de Beyrouth

Le 4 août, l’explosion du port de Beyrouth a fait resurgir les souvenirs douloureux de la guerre civile. C’est à ce poids indicible sur les individus qu’est consacré le premier roman de Dima Abdallah.

Jean-Loup Samaan (En attendant Nadeau)

4 octobre 2020 à 17h56

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Mauvaises herbes, premier roman de Dima Abdallah, se présente comme le récit croisé d’un père et de sa fille. Celui-ci débute à Beyrouth en 1983, au plus fort des affrontements entre milices, et s’achève en 2019 à Paris, où la narratrice est partie refaire sa vie. Les chapitres prennent la forme de monologues intérieurs qui alternent entre ces deux personnages au fil des années et des lieux.

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