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«Une république lumineuse» brise le mythe de l’innocence enfantine

Une bande d’enfants sème la terreur dans une ville tropicale. Dans son nouveau roman, Andrés Barba fait de l’enfance une puissance de subversion politique et littéraire : « L’enfance est plus puissante que la fiction », prévient l’écrivain espagnol.

Melina Balcázar (En attendant Nadeau)

5 juillet 2020 à 11h54

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De notre conception de l’enfance incarnée par de petits êtres aimants, polis, propres et bien éduqués, il restera très peu après la lecture d’Une république lumineuse : le roman remet en question « cette fiction sociale » qui considère le temps de l’enfance comme celui de l’innocence sacrée. Mais le roman de l’écrivain et traducteur espagnol Andrés Barba interroge plus largement notre rapport au pouvoir, à la communauté, au corps. Il tente de libérer par le récit la force aveugle et occulte de l’enfance, capable de troubler l’ordre social et politique.

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