Arts Reportage

L’occupation du Grand Théâtre de Tours: «Oh les beaux jours» et «Fin de partie»

Coup de sonde parmi les occupants du Grand Théâtre de Tours. Les uns luttent pour sauvegarder leurs droits qui régressent, les autres fomentent des hérésies anticapitalistes, pour que le prétendu monde d’après ne se fasse pas sans eux.

Antoine Perraud

Tours (Indre-et-Loire).– Le Grand Théâtre de Tours, inspiré de l’Opéra Garnier à Paris, fut conçu dans les années 1880 tel un écrin-miroir permettant à l’aristocratie et à la haute bourgeoisie d’être vues, reconnues, distinguées. Près de 140 ans plus tard, le bâtiment est occupé par des soutiers de la culture exigeant d’être entendus, secourus, respectés.

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