On croit connaître Colette Peignot, ou Laure (1903-1938). On croit la connaître alors qu’on l’a lue partiellement, voire partialement, dans des éditions plus ou moins complètes, parfois bricolées, biffées, biffurées. Bataille et Leiris y sont pour quelque chose, qui tirèrent les premiers le linceul à eux, l’amour s’emmêlant à Laure, puis la famille, les mots des uns et des autres finissant par couvrir ses écrits à elle.
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