« Lorsque j'ai eu le feu vert pour traduire un tout premier livre de Corée du Nord, j'ai longuement hésité. Que choisir ? Quel qu'il soit, il ne serait pas reçu comme une œuvre littéraire », dit Patrick Maurus, qui est plus qu'un traducteur de coréen nord et sud, plus qu'un directeur de collection chez Actes Sud et maître de conférences à l'INALCO : un mordu. Quand vous ne pouvez le joindre, il est là-bas, où il a habité (au sud), fut marié.
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