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Les heures chaudes d’Albert Camus au parti communiste algérien

Entretien avec Christian Phéline et Agnès Spiquel-Courdille, auteurs de Camus, militant communiste. Alger 1935-1937 (Gallimard). Où l’on découvre, sous la chape coloniale, un foisonnement fraternel qui n’aura cessé de nourrir les combats de l’écrivain contre l’injustice.

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Antoine Perraud

Peu de gens apprirent de son vivant qu’Albert Camus (1913-1960) avait appartenu au parti communiste. Plus tard, ses biographes Herbert Lottman puis Olivier Todd ont documenté la question, qui méritait pourtant une monographie. Celle-ci vient de paraître sous la plume de Christian Phéline et Agnès Spiquel-Courdille, qui se sont attachés à suivre à la trace les activités connues ou supposées d’un apprenti intellectuel tout juste majeur (de 21 ans révolus jusqu’à la veille de ses 24 ans) : Camus, militant communiste. Alger 1935-1937 (Gallimard).

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