Tout finit par des dénis. Après avoir présenté la députée insoumise Danièle Obono en esclave, dans une chronique perverse et humiliante au possible, Valeurs actuelles s’est fendu, samedi 29 août, d’un communiqué alambiqué : « Notre texte n’a rien de raciste […]. Si nous contestons fermement les accusations dont nos contempteurs nous accablent, nous avons suffisamment de clairvoyance pour comprendre que la principale intéressée, madame Danièle Obono, ait pu se sentir personnellement blessée par cette fiction. Nous le regrettons et lui présentons nos excuses. »
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