«Vraie et sale », ce sont les mots de Sony que la chercheuse Céline Gahungu reprend. Ce dernier ne veut-il pas une écriture « qui pue le sang » ? Des images non moins féroces s’étaient imposées à son grand aîné, le poète Tchicaya U’ Tamsi, pour dire sa découverte de la poésie de Sony : « Il est venu chez moi sous la forme d’un poème, et ce poème était un étoilement de viande, de sang, de viande déchirée. »
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