Libertés publiques

21 heures de garde à vue pour avoir collé des affiches pro-climat

Dans la nuit du 24 au 25 avril, quatre activistes d’Extinction Rebellion ont subi une garde à vue, un relevé de leurs empreintes digitales et le déverrouillage de leurs téléphones pour avoir collé des affichettes sur des banques. L’avocat d’une interpellée dénonce « un fichage illégal de militants climat ».

Mickaël Correia

C’est un geste policier qui traduit la terrible intensification de la répression à l’égard des activistes climat. Dans la nuit du 24 au 25 avril, quatre militant·es d’Extinction Rebellion ont été placé·es durant presque vingt et une heures en garde à vue pour avoir collé dans le XIVe arrondissement de Paris des affichettes sur des façades d’établissements bancaires.

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