Entreprises

Le numéro d’équilibriste de Patrick Drahi pour séduire le monde financier

Pour tenter de rassurer ses créanciers, le dirigeant d’Altice a cherché à prendre ses distances avec son ancien bras droit, accusé de corruption. Il a assuré aussi que le groupe allait changer, que la stratégie ne serait plus la même. Est-ce suffisant pour retrouver la confiance dans un groupe accablé par les dettes et miné par la corruption ?

Martine Orange

Pour Patrick Drahi, l’exercice était un des plus périlleux de sa carrière. Existentiel même : il lui fallait coûte que coûte retrouver la confiance des créanciers dubitatifs concernant l’avenir d’Altice, lors de cette présentation du 7 août.

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