Économie et social Entretien

L'affaire Lagarde: pas bon pour le FMI

Le conseil d'administration du FMI a pris en connaissance de cause le risque de choisir Christine Lagarde pour succéder à DSK. Ted Truman, expert du Peterson Institute de Washington, reconnaît que son sort dépend des aléas de la procédure judiciaire dans l'affaire Tapie.

Philippe Riès

Ayant choisi Christine Lagarde en connaissance de cause, les administrateurs et les pays membres du Fonds monétaire international en sont désormais réduits à espérer que la procédure judiciaire ouverte contre elle en France ne l'empêchera pas dans l'immédiat de faire son travail ni, plus grave, que l'ouverture d'un procès ou de nouvelles révélations dans le cadre de l'instruction ne viendront pas contraindre à la démission la toute nouvelle directrice générale.

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