Économie et social

Dubaï: quand les tours ne montent pas jusqu'au ciel

L'annonce soudaine par l'émirat de Dubaï, vitrine de la prospérité du Golfe, d'un moratoire sur une dette de 80 milliards de dollars a jeté un froid dans la petite fête que s'offraient les marchés financiers avec l'argent des banques centrales. Histoire classique d'une folie des grandeurs financée par l'endettement mais aussi avertissement sur le risque lié à l'explosion généralisée de la dette publique. Analyse.

Philippe Riès

Avec le défaut de paiement de l'émirat de Dubaï, qui est venu secouer violemment les marchés financiers internationaux au moment où l'Amérique digérait la dinde de «Thanksgiving», le théorème de Lawrence a prouvé une nouvelle fois sa validité.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter