Dans la petite salle des prud’hommes de Marseille, ce 11 septembre 2019, l’ambiance est tendue. Laurence M., ex-veilleuse de nuit dans une maison d’enfants à caractère social, demande à être reconnue comme lanceuse d’alerte. Son employeur, Vincent Gomez-Bonnet, le directeur de l’association Fouque, présent, conteste sa bonne foi.
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