Après la mort de Nahel, la révolte et la répression des quartiers populaires

Après la mort de Nahel, les députés plaquent leurs fantasmes sur la justice

Après la mort de Nahel M. et six nuits d’émeutes, les députés, qui examinent deux projets de loi sur la justice, l’ont parée de toutes les vertus. Appelée à la rescousse, l’institution est pourtant unanimement décrite comme délaissée depuis trop longtemps. 

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Ils veulent une justice « ferme », « rapide », « courageuse » et « exemplaire ». Ils lui rendent hommage. Ils ont temporairement mis de côté les reproches qu’ils lui adressent quand elle menace leur camp politique ou leurs convictions pénales, préférant la plaindre comme une pauvre hère dont personne ne s’occupe. Et ils regrettent, pour les besoins de causes contradictoires, que la justice de leurs rêves n’ait pas (ou pas encore) les moyens de leurs ambitions. 

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Depuis le 7 janvier 2023 notre confrère et ami Mortaza Behboudi est emprisonné en Afghanistan, dans les prisons talibanes.

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