Le Plan pour le numérique à l'école donne lieu à un mélange des genres
Le plan de développement du numérique à l'école se heurte à d'étonnants conflits d'intérêts. La dirigeante d'une société spécialisée dans ce secteur en plein essor, et chargée depuis un an de définir la stratégie des pouvoirs publics en la matière, vient ainsi de remporter un appel à projet de près d'un million d'euros.
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Le numérique à l’école est une filière industrielle d’avenir. Il a, en tout cas, été consacré comme tel par Bercy parmi 34 filières qui doivent dessiner la « nouvelle France industrielle » aux côtés de la nano-électronique ou la chimie verte et les biocarburants. Répondant à un rapport du cabinet Mc Kinsey qui avait identifié ces secteurs comme susceptibles de « jouer la rupture pour une Renaissance de l’industrie française », feu le ministère du redressement productif avait lancé, à l’automne 2013, 34 chantiers pour déterminer dans chacun de ces secteurs les leviers d’actions des pouvoirs publics pour permettre son émergence/développement en France.
Plus de 30 000 personnes auraient trouvé refuge en France depuis le début de la guerre d’invasion russe en Ukraine, en février. Si le gouvernement a assuré que tous les moyens seraient mis en œuvre pour les accueillir, la désorganisation persiste, regrettent les acteurs de terrain.
La croissance a stagné au premier trimestre et ne devrait pas faire beaucoup mieux au deuxième. La compression des revenus réels et l’indifférence quasi complète du gouvernement conduisent à une situation des plus préoccupantes. Toute l’économie se recroqueville.
Emmanuel Macron a réuni mardi les candidats de son camp aux élections législatives. La future majorité qu’il espère obtenir s’annonce macroniste jusqu’au bout des ongles. Le chef de l’État a fait confiance aux députés, conseillers et ministres de son premier quinquennat, balayant les espoirs d’élargissement et de renouvellement dans ses rangs.
La députée de Seine-Maritime Sira Sylla a été une nouvelle fois jugée aux prud’hommes pour répondre de faits de harcèlement sur un collaborateur, qui devait notamment garder son chien et lui acheter cigarettes et champagne. L’élue n’était pas présente à l’audience, étant en campagne pour sa réélection, avec le soutien de la majorité.
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