Cozzano (Corse), envoyée spéciale.– Emmanuel Macron ne comprend pas le problème. « Je suis volontaire, déterminé et ouvert, mais je ne veux pas tomber dans le piège de postures, dit-il. Je pense que les Corses méritent mieux que les guerres de tranchées et de positions. » Autour de lui, les mines sont concentrées, les rangs resserrés. Un chat se faufile entre les chaises, sous l’œil torve d’un officier de sécurité qui s’empare de son oreillette pour régler le sort de l’impudent.
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