De la Nouvelle-Calédonie à la Kanaky, un long chemin vers l’indépendance

« La paix, c’est l’indépendance » : les militants kanak libérés de prison se retrouvent à Paris

Pour la première fois depuis leur libération, six anciens détenus, dont le président du FLNKS Christian Tein, se sont exprimés ensemble pour « mettre la lumière » sur ce qu’il s’est passé depuis les révoltes du 13-Mai en Kanaky-Nouvelle-Calédonie et évoquer la suite des événements, après leur rejet de l’accord de Bougival.

Ellen Salvi

C’est la première fois qu’ils se retrouvent ensemble. « [C’est] un honneur et une grande joie près de 500 jours après notre déportation », se réjouit Steve Unë. Jeudi 6 novembre, sur la scène de la Bourse du travail à Paris, ce militant indépendantiste s’exprime aux côtés de ses camarades de la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT) Yewa Waetheane, Brenda Wanabo, Guillaume Vama, Dimitri Tein-Qenegei et Christian Tein, tou·tes transféré·es en métropole en juin 2024 et détenu·es à 17 000 kilomètres de leurs proches pendant près d’un an.

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