Préservation de quelques miettes sur la loi El Khomri. Minimum à peine conservé sur les ordonnances Pénicaud. Trahison par le pouvoir sur le compte personnel de formation. Humiliation sur l’assurance-chômage. Et, aujourd’hui, chausse-trape sur la réforme des retraites. La CFDT continue, vaille que vaille, d’avaler des couleuvres au nom d’un réformisme qui n’a plus aucune prise sur la politique des exécutifs successifs.
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