« Je ne suis pas sûre que donner la gestion de l’eau à des délégations privées soit une bonne idée », confie Nicole Perrau, la maire de La Rouvière, petite commune de 600 habitants ayant fait son entrée dans l’agglomération nîmoise en 2017. Jusque-là, elle avait fait le choix de la régie municipale. Comme Dions, commune de 600 habitants. « Sur le principe, je ne suis pas pour donner le bien public à des privés pour l’exploitation mais je ne suis qu’un petit maire parmi tant d’autres, on est obligé de s’y conformer », explique, fataliste, Jean Verdalle.
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