Voilà une décision de justice qui sème le trouble au sein de l’équipe de près de 900 salariés de France terre d’asile, poids lourd de l’hébergement des demandeurs d’asile (4 522 places), qui dépend massivement de la commande publique. Il s’agit d’un jugement du conseil de prud’hommes de Paris, en date du 20 juillet 2017, passé inaperçu jusque-là, qui vise directement son bouillonnant et médiatique directeur général, Pierre Henry, toujours près d’une caméra lors des évacuations de campements parisiens.
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