Libertés publiques

Les «signaux faibles», outil de contrôle des populations

Depuis la tuerie de la préfecture de police, responsables politiques et médias appellent les citoyens à surveiller les « signaux faibles » annonçant une radicalisation dans leur entourage. À l’origine de cette notion, se trouve une théorie à l’efficacité contestée issue des doctrines sécuritaires américaines.

Jérôme Hourdeaux

« Signaux faibles ». Depuis les révélations sur la personnalité de l’auteur de la tuerie du 3 octobre à la Direction du renseignement de la préfecture de police (DRPP) de Paris, ce concept est repris en boucle dans les médias.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter