France

La future loi santé pose «plus de questions qu’elle n’apporte de réponses»

La loi santé, examinée mercredi 13 février en conseil des ministres, sera débattue mi-mars à l’Assemblée. Elle ambitionne de revisiter la formation des futurs médecins, mais aussi de redessiner la carte hospitalière française. Le doute reste entier sur la capacité de la médecine de ville à absorber la charge qui en découlera. En attendant, les services des urgences continuent de déborder.

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

C’est une petite loi, examinée de manière express, que la loi santé d’Agnès Buzyn. Une vingtaine d’articles seulement, qui ne couvrent qu’une partie des champs abordés par l’ambitieux plan « Ma santé 2022 ». Mais il faut aller vite, très vite, dans ce gouvernement féru de réformes. La ministre de la santé a d’ailleurs déclaré, dans une interview à France Inter, qu’il s’agissait aussi de répondre aux attentes exprimées par les Français dans le cadre du grand débat… alors que celui-ci n’est pas encore achevé.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal