« Ce qui est amusant et en même temps inquiétant un peu, c’est la disproportion entre cette bande de rigolos qui viennent perturber une assemblée de LVMH et le nombre de services qui sont complètement en branle : les renseignements, la préfecture de police, ça remonte jusqu’au numéro 2 du Conseil du renseignement à l’Élysée, réagit François Ruffin, mi-amusé, mi-grave, après avoir écouté le premier épisode de l’enquête de Mediapart sur les écoutes ignorées de Bernard Squarcini. Moi, ce qui m’effraie et m’étonne, c’est la fusion entre l’État et LVMH dans cette histoire-là. »
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