Jeudi 13 octobre, les sept candidats à la primaire de la droite et du centre ont peiné à se différencier au cours d’un débat réduit à une bataille de slogans. L’exercice annoncé comme décisif n’a jamais réussi à décoller. Ils redoutaient un « pugilat ». Ils ont offert un grand moment d’ennui.
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CeCe devait être le premier grand rendez-vous de la primaire de la droite et du centre. Celui qui devait servir de rampe de lancement à la campagne et convaincre des millions de Français de se déplacer les 20 et 27 novembre prochains pour désigner qui des sept candidats en lice – Alain Juppé, Nicolas Sarkozy, François Fillon, Bruno Le Maire, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-Frédéric Poisson et Jean-François Copé – représentera son camp pour la présidentielle de 2017.