Marine Le Pen a été relaxée, mardi 15 décembre, par le tribunal correctionnel de Lyon qui la jugeait pour avoir comparé en 2010 les prières de rue musulmanes à l'Occupation. Le procureur de la République avait requis le 20 octobre dernier la relaxe de la présidente du Front national, considérant que l'infraction n'était pas suffisamment caractérisée.
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