Lorient (Morbihan), correspondance.– Ils ont commencé en décembre à bas bruit, par une sorte de « grève du zèle », en refusant les heures supplémentaires, les appels inopinés à décharger les bateaux, assurant au minimum la sécurité. Puis les dockers des 38 ports français sont montés d’un cran. Depuis deux semaines, ils cessent le travail par tranches de 72 heures et multiplient les opérations « ports morts », désorganisant l’accès et l’activité dans ces points névralgiques du littoral.
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