Assistants au Parlement européen: le document qui accable Marine Le Pen
Mediapart et Marianne révèlent le rapport confidentiel de l’Office antifraude européen transmis à la justice française, qui enquête sur les assistants de Marine Le Pen au Parlement. Le gendarme européen soupçonne notamment qu’« un faux contrat de travail » a été établi pour son ex-assistant et garde du corps Thierry Légier. Ce que la présidente du FN conteste.
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« Je« Je note que c’est monsieur Fillon qui fait l’objet d’une enquête, et c’est moi qui suis accusée ! », se plaignait Marine Le Pen sur TF1, le 28 janvier 2017. Interrogée ce jour-là sur les soupçons d’emploi fictif de ses assistants au Parlement européen, elle balaye le sujet en dénonçant à nouveau une « procédure inadmissible » et « politique ». « J’ai tout apporté, j'ai tout apporté [les justificatifs – ndlr] ! », évacue-t-elle.