La proposition du candidat socialiste de recréer 60.000 postes dans l'éducation nationale en cinq ans continue de plomber sa campagne: après les atermoiements quant au financement de la mesure, c'est la capacité même de recruter si largement qui pose question. Son équipe cherche des pistes pour sortir de l'impasse.
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TrouverTrouver la sortie, ne pas s'enfermer dans le piège. Dans la campagne électorale qui commence, l'une des rares propositions concrètes du candidat socialiste – recréer 60.000 postes dans l'éducation nationale sur cinq ans – est paradoxalement en passe de devenir son talon d'Achille. C'est ce qu'espère ardemment l'UMP qui a concentré ses salves, ces dernières semaines, contre la mesure jugée «irresponsable» et «irréalisable».