À 43 ans, le socialiste se retrouve propulsé maire de la cité phocéenne suite à la démission de Michèle Rubirola. Jugé trop clivant pour porter la campagne du Printemps marseillais, il est aujourd’hui présenté en recours indiscutable.
Lisa Castelly
et Jean-Marie Leforestier (Marsactu)
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MarseilleMarseille (Bouches-du-Rhône).– Un choix consensuel presque naturel. Peu de voix dissonantes se sont élevées dans la majorité pour contester la propulsion de Benoît Payan, 43 ans en janvier, vers le fauteuil de maire. Ni l’électron libre Samia Ghali qu’il avait pris soin de rencontrer mardi, en fin de matinée, avec Michèle Rubirola, ni les membres de son groupe n’ont vraiment contesté le « switch » proposé par la maire démissionnaire. Le communiqué de son groupe, le Printemps marseillais, évoque même un soutien « unanime ».