Le 15 avril, la cathédrale de Paris brûlait et près de 400 tonnes de plomb présent dans l’édifice se répandaient en poussière dans les environs. Depuis, l’agence régionale de santé (ARS), la préfecture et la mairie ont effectué plusieurs mesures de concentration en plomb. Alors que ces taux sont supérieurs au seuil réglementaire, les autorités ne les communiquent pas, mettant en danger les riverains et les ouvriers du chantier.
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