Libertés publiques Analyse

À Lyon, trois ans après leur dissolution, les antifas du Gale se battent encore pour exister

Le Groupe antifasciste Lyon et environs a saisi la Cour européenne des droits de l’homme. Il avait été dissous par le gouvernement en 2022 sur la base d’un nouveau motif créé par la loi séparatisme de 2021. Les antifas estiment que cette dissolution est une atteinte à la liberté d’expression.

Marie Allenou (Rue89 Lyon)

C’était un crash-test pour le gouvernement français et son ministre de l’intérieur d’alors, Gérald Darmanin. En mars 2022, le Groupe antifasciste Lyon et environs (Gale) était le premier collectif dissous en tant que groupe provoquant « des agissements violents à l’encontre des personnes ou des biens ».

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