Les préjugés sexistes perturbent le diagnostic des troubles de l’attention chez les filles
Le TDAH souffre encore du cliché du petit garçon intenable. La méconnaissance des symptômes chez les filles, les préjugés liés au genre, les évaluations reposant sur des échelles inadaptées, entraînent un retard de diagnostic chez les femmes et favorise le développement d’autres troubles.
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« Lorsque« Lorsque j’ai évoqué le TDAH avec mon généraliste, il m’a ri au nez et répondu que c’était réservé aux garçons et que ça disparaissait en grandissant », confie Laura*, 38 ans, secrétaire dans la fonction publique. Un trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité lui a pourtant a été diagnostiqué en 2018.
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