L’association Notre affaire à tous et trois ONG lancent un recours contre l’État, qui ne tient pas son engagement à respecter de nombreuses obligations relatives à la lutte contre le changement climatique. 1 000 000 de personnes ont déjà signé leur pétition.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
L’État français sera-t-il un jour condamné par la justice pour inaction en faveur du climat ? C’est la porte qu’ouvrent quatre associations en démarrant, mardi 18 décembre, une procédure devant le Conseil d’État pour carence fautive d’actions contre le dérèglement climatique. Initié par l’association de juristes écologistes Notre affaire à tous, le projet de recours contre l’État français a été repris et endossé par trois grandes ONG nationales : la Fondation pour la nature et pour l’homme (FNH), Greenpeace et Oxfam. Reconnues d’utilité publique, elles renforcent la crédibilité juridique de la procédure. Et, symboliquement, apportent leurs poids politique dans la balance.
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.