« Ce qui nous rassemble est infiniment supérieur à ce qui nous divise. » C'était il y a un an tout juste : le slogan fétiche de l'UMP volait en éclats à l'occasion de l'élection fiasco de son président. Des semaines de crise, quatre proclamations de victoire, des divisions étalées dans tous les médias et une chute de popularité spectaculaire de ses responsables. Pendant que Jean-François Copé serinait « nos adversaires sont à gauche », François Fillon pointait du doigt une « fracture politique et morale », et le centriste Jean-Louis Borloo dénonçait « l'illusion du parti unique à droite ».
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous