Le président sortant n’est pas obligé de descendre dans l’arène mais la guerre en Ukraine semble avoir dissuadé Emmanuel Macron de se confronter aux autres candidats et candidates. Cette absence de débat risque de créer pour la suite un problème de légitimité.
L’absence de vraie confrontation entre tous les candidats et candidates à la présidentielle n’est pas du goût de tout le monde. Le président sortant n’est bien sûr pas obligé de descendre dans l’arène et la guerre en Ukraine l’en a définitivement éloigné. Posant en chef de guerre, Emmanuel Macron peut regarder de haut la mêlée. Et sans challenger réellement inquiétant face à lui, il semble assuré de sa place au second tour. Mais cette absence de débat risque de créer pour la suite un problème de légitimité.
Les urgences de l’hôpital Pellegrin régulent l’accès des patients en soirée et la nuit. Cela ne règle rien aux dysfonctionnements de l’établissement, mettent en garde les urgentistes bordelais. Épuisés par leur métier, ils sont nombreux à renoncer à leur vocation.
À l’issue du congrès qui s’ouvre dimanche, Frédéric Souillot devrait largement l’emporter et prendre la suite d’Yves Veyrier à la tête du syndicat. Inconnu du grand public, l’homme incarne, jusqu’à la caricature, le savant équilibre qui prévaut entre les tendances concurrentes de FO.
La compagnie aérienne a été condamnée, en appel, à verser 8,6 millions d’euros de dommages et intérêts pour « travail dissimulé ». La firme irlandaise avait employé 127 salariés à Marseille entre 2007 et 2010, sans verser de cotisations sociales en France. Elle va se pourvoir en cassation.
Modèle français du travail en prison, le centre de détention d’Oermingen a inspiré une réforme du code pénitentiaire ainsi qu’un « contrat d’emploi pénitentiaire ». Mais entre manque de moyens et concessionnaires rétifs à tout effort supplémentaire, la direction bataille pour garder le même nombre de postes dans ses ateliers.
par
Guillaume Krempp (Rue89 Strasbourg)
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