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Comment Halim A. a convaincu le Conseil d’Etat de suspendre son assignation à résidence

Halim A., assigné à résidence depuis le 15 novembre 2015 à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) dans le cadre de l’état d’urgence, a démontré au juge des référés et à la représentante du ministère de l’intérieur qu’il est possible de tenir son téléphone à bout de bras quand on est en conversation haut-parleur. Et que ce geste ne saurait être confondu avec celui de la prise d’une photo.

La rédaction de Mediapart

Halim A., assigné à résidence depuis le 15 novembre 2015 à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne) dans le cadre de l’état d’urgence, a démontré au juge des référés et à la représentante du ministère de l’intérieur qu’il est possible de tenir son téléphone à bout de bras quand on est en conversation haut-parleur. Et que ce geste ne saurait être confondu avec celui de la prise d’une photo. Lire la suite sur lemonde.fr

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