Pierre Person souhaitait provoquer un « électrochoc » au sein du principal parti de la majorité présidentielle. La démission bruyante du numéro deux de La République en marche (LREM), annoncée dans un entretien au Monde puis actée à l’issue d’un bureau exécutif houleux tenu lundi 21 septembre, aura au moins favorisé l’expression au grand jour du malaise qui gangrène le mouvement. À la suite du désormais ancien délégué général adjoint, deux autres personnalités ont d’ailleurs abandonné leurs responsabilités internes : la députée des Yvelines Aurore Bergé, qui exerçait le poste de porte-parole, et le député de la Vienne Sacha Houlié, chargé des relations avec les acteurs politiques et sociaux.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous