C’est un changement de ton notoire. Le 3 avril dernier, au lendemain d’incidents entre police et jeunes survenus dans le quartier de la Reynerie, le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc avait indiqué avoir demandé à la police « de s’investir davantage sur ces questions-là, d’accentuer ses efforts sur certains quartiers ». Et d’assurer qu’il allait « poser la question au préfet de l’opportunité de prendre un arrêté de couvre-feu ».
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