Le Front national n'a grappillé que deux sièges d'élus au soir du second tour des cantonales. On aurait tort, pourtant, de minimiser la progression du parti d'extrême droite à ces élections, et de n'attribuer les scores élevés du FN qu'à un effet de mode Marine Le Pen ou à la désaffection de l'électorat pour Nicolas Sarkozy.
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