« Faut surtout pas se mélanger avec lui parce que là ça sent le mec qui a envie de se sauver hein… », avait conseillé Alexandre Djouhri. En février 2015, l’intermédiaire, aujourd’hui écroué à Londres, mettait en garde l’ancien premier ministre Dominique de Villepin au sujet d’un homme clé du chavisme mondain, le Vénézuélien Diego Salazar, 40 ans, surnommé « El señor de los relojes » – le dieu des montres. À l’entrée d’une fête, Salazar avait offert un jour à ses invités de casser leur montre à coups de marteau, moyennant quoi ils repartaient avec une Rolex. Il achetait en effet des montres en or, Rolex et Cartier, par dizaines.
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