Nucléaire, la catastrophe qui dure Vidéo

Nucléaire: la vérité officielle est trompeuse

Les instances internationales de radioprotection minimisent les risques nucléaires, affirme l'expert Yves Lenoir.

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Jade Lindgaard

Quel est le bilan humain exact des accidents de Tchernobyl et de Fukushima ? À cette question, il n’a jamais été possible de répondre. Parce qu’il est difficile d’isoler les causes de décès et de maladies des personnes. Mais aussi parce que les instances internationales de radioprotection, chargées de protéger les populations des dangers de la radioactivité, n’ont pas mis en place les outils de recherche nécessaires. Plus grave, elles ont fixé des seuils d’exposition « tolérable » aux rayons ionisants supérieurs aux valeurs préconisées par une partie des médecins. Ces valeurs de référence ont été utilisées par les gouvernements lors des catastrophes de Tchernobyl, en 1986, mais aussi de Fukushima en 2011.

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