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«La crise urbaine, crise centrale du capitalisme»

Le géographe américain Richard Florida constate que les grandes métropoles internationales sont inaccessibles à ceux qui y travaillent.

La rédaction de Mediapart

« Les métropoles ne sont plus des endroits pour héberger des gens, mais les supports de placements immobiliers peu risqués, réalisés par des personnes ou des entreprises très riches. Et cela va continuer. » Le géographe américain Richard Florida expose dans un livre pourquoi les « supervilles » comme Paris, New York ou Londres, attirant toujours plus de membres de l’élite mondiale, se ferment toujours plus aux autres populations.

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